coule l'encre
lignes de vivre
usage de la main
la marche & le repos
le pied nu
la capsule
attendre le froid
l'écorchure
empilement du poids de l'homme
la cendre
nos écritures
incertain temps restent
qu'emporte
le vent ? sous la poussière
rouge braise
le geste s'immobilise impossible
à oublier
qu'ai-je appris des ivresses ?
sinon quand elles cessent
je n'en peux plus de vivre
je me laisse
encore quelques livres
quelques bières & mon tabac
le corps s'écrit
le temps efface
l'un l'autre unis
l'instant d'une vie
Génial cet état des lieux… corporel. J'aime beaucoup le choix de l'exposition. Nicolas.
RépondreSupprimermerci beaucoup Nicolas
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